Nous étions les hommes, de Gilles Legardinier
J'avais essayé un roman "drôle" de Gilles Legardinier et l'héroïne m'avait tapé sur les nerfs (vous savez, le genre de personnage principal à qui on a envie de mettre des claques!), j'avais donc arrêté ma lecture. En thriller, l'écriture m'a paru totalement différente, et j'ai apprécié ma lecture de Nous étions les hommes.
Sans être extraordinaire (il m'a manqué un petit "je sais quoi" ), l'histoire est bien construite, originale, avec trois histoires parallèles qui se rejoignent. J'ai eu davantage de mal avec les personnages, sympathiques mais que j'ai eu du mal à imaginer réellement... J'ai en revanche trouvé la fin très "abrupte"/
Un bon thriller, donc, qui permet de passer un bon moment sans une seconde d'ennui, mais qui ne me laissera pas un souvenir "impérissable".
Mais ce n'est que mon avis, car d'autres sont beaucoup plus élogieux si on lit les commentaires sur amazon, alors à vous d'essayer : que vous le trouviez au final bon ou excellent, vous aurez passé un bon moment.
"Dans le plus grand hôpital d’Edimbourg, le docteur Scott Kinross travaille sur la maladie d’Alzheimer. Associé à une jeune généticienne, Jenni Cooper, il a découvert une clé de cette maladie qui progresse de plus en plus vite, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes. Leurs conclusions sont aussi perturbantes qu’effrayantes. Si ce fléau l’emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra. Nous redeviendrons des animaux. C'est le début d'une guerre silencieuse dont Kinross et Cooper ne sont pas les seuls à entrevoir les enjeux. Partout sur la Terre, face à ceux qui veulent contrôler le monde et les vies, l’ultime course contre la montre a commencé..."